Quelle gouvernance à Petit-Quevilly et à la Métropole ? Seul, on va vite. Ensemble, ça va loin !
Nous vous redonnons la tribune du groupe des élus communistes qui parait dans le journal municipal de février 2019. . Les élus communistes, mais aussi très certainement les élus des autres composantes de la majorité municipale, découvriront la nouvelle formule en même temps que les habitants. Ainsi va le fonctionnement démocratique à Petit-Quevilly! D'ailleurs, ils découvriront aussi, dans ce numéro, le résultat de l'enquête lancée auprès des habitants en septembre! Enquête, à ne pas en douter, qui sera le socle d'une campagne pour des élections municipales qui s'ouvre.
23.000 habitants, au 7ème rang du département, Petit-Quevilly a une histoire forte, liée aux solidarités construites au travail et dans les quartiers, à prioriser toujours éducation et culture, à sa capacité à bâtir un cadre de vie digne, à résister et lutter. Des services publics proches, accessibles, efficaces ont toujours été la boussole des communistes pour y construire du bien commun, ou la technologie renforce le lien entre nous tous.
Notre ville ne peut être un domaine administré, sous tutelle mais une commune libre, respectée, égalitaire, juste, courageuse, généreuse, populaire, rebelle aussi.
L’intercommunalité doit se fonder sur une visée et un projet partagé de territoire. L’eau, les déchets, les transports… sont notre quotidien solidaire et écologique.
Dans le mouvement social en cours, l’exigence démocratique s’exprime dans les cahiers de doléances, refusant une monarchie républicaine déclinée.
Par la presse, les quevillais-es ont appris que F. Sanchez ne souhaite plus être maire de Petit-Quevilly. Il entend se consacrer à plein temps, en 2020, à la métropole. La confrontation publique avec les élus de Rouen montre une gouvernance supra communale qui régente. Seul, on va vite. Ensemble, on va loin.
L’humanité en partage !