Oui au bien commun. Non à la mue libérale. Frontons à gauche!

Après Christophe Bouillon, alors 1er secrétaire du PS76, qui s'était fendu d'un titre ravageur dans sa tribune libre du journal Paris-Normandie lors de l'épisode Thévenoud: " ni fraudeur, ni frondeur...", un pilier du gouvernement s'est exprimé sur le congrès du PS qui aurait du être l'occasion de débats sur le projet, sa mise en oeuvre dans l'exercice des responsabilités confié par le peuple... Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes Publics: "Je me félicite de la victoire (?) sur les frondeurs, les râleurs, les grondeurs et autres bestioles en eur." Fermer le ban! Il réduit l'aile gauche du PS à des emmerdeurs. Sait-il qu'il fait partie d'un gouvernement comportant de moins en moins d'admirateurs? Et l'on passe sur Sarkozy et son clan, les Le Pen et leur saga familial, le tout sur fond de haine, de cupidité, de domination. Du déni à la catastrophe démocratique, nous y allons droit dans la mur.

Les élites de la France n'ont ils pas d'autres ambitions que de réduire le débat politique à leur carrière? 

Vivement que le progrès social, l'éducation, le bien commun, la démocratie, l'urgence écologique, la paix... l'Humain...s'installent au coeur des préoccupations et de l'action publique.

L'Humain d'abord!