Après la vague de fond populaire du jeudi 5 décembre, les grèves qui s'organisent, Macron-Philippe vont-ils...
...écouter et entendre? Ce jeudi, dans le cortège des 35.000 manifestants, beaucoup de quevillais-es étaient présents: les agents de la ville avec Stéphane Malétras et les délégués mais aussi de la métropole et du SMEDAR, des professeurs des 15 écoles de la ville, ceux des 2 collèges et des 2 lycées. Les personnels du CHU St Julien étaient très actifs, déjà bien engagés dans la défense de l'hopital public. Bien sur, les travailleurs de la métallurgie, de la chimie, du bâtiment et des travaux public, ceux du transport, dockers, cheminots, traminots et routiers, employés du commerce se battent sur un droit à la retraite après avoir exercer des métiers pénibles. Il en va aussi des policiers, très présents, des pompiers largement applaudis, des agents de la justice et plus généralement des fonctions publiques. Toutes les sensibilités et organisations syndicales (CGT, FSU, UNSA, FO, CFTC, CGC, Solidaires) étaient présentes, y compris la CFDT métallurgie ou transports. Bien sur, la CGT a assuré la mobilisation. Une caractéristique de ce mouvement est de rassembler des citoyens qui ne manifestent pas ou peu, isolés ou surgit des mouvements des gilets jaunes, roses ou verts. La jeunesse était là, preuve de la sensibilité à un système social fondé sur les solidarités intergénérationnelle et interprofessionnelle auxquels nous sommes profondément attachés.
Notons encore la présence d'élus-es de la ville comme Charlotte Goujon maire, Tiphaine Berthelot adjointe au maire, Jean-François Hazard, conseiller municipal, votre serviteur.Ou bien encore Hubert Wulfranc député, Joachim Moyse maire de St Etienne du Rouvray, Manuel Labbé et Jean-Michel Bérégovoy, adjoints au maire de Rouen...
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ci-dessous le décriptage des arnaques de la réforme des retraites.