Une réponse publique face aux nouvelles coutumes lors de la perte d'un proche
L'incinération devient la pratique majoritaire de nos concitoyens. Pour de multiples raisons: Les interdits religieux de l'église sont levés. Le foncier est devenu rare en ville. Les mobilités distancent le recueillement dans les cimetières. Les couts de l'enterrement, des concessions pésent sur les budgets des familles...
Confronté récemment à la perte de proches qui souhaitaient être incinéré, le temps d'attente, 10 jours en l'occurrence, au crématorium de Rouen Monumental est devenu une souffrance qui s'additionne à la douleur de l'absence. De plus, chaque jour passé en chambre funéraire incrémente une facture dont le cout au final est important.
La ville de Petit-Quevilly a été la dernière commune de l'agglomératon à s'équiper de cases pour accueillir les urnes.
Il faut d'urgence un équipement public sur la rive gauche de l'agglomération. Les discussions sont engagées avec l'ensemble des communes concernées. Investir pour répondre aux besoins de nos concitoyens.